Trame 1!
Année 1979, Prison de haute sécurité « Kyooki ».« Je préfère brûler vif que me faire cramer… » Article paru dans un journal régional :« Vers cinq heures du matin, un feu a été déclaré dans la prison de haute sécurité dans notre région. D’après ce que les pompiers nous on dit, l’incendie semble avoir eut une origine criminelle. De plus on a apprit qu’il n’y a pas de survivants, aucun, et au vue des tâches de sang qui sont nombreuses et encore visibles malgré l’incendie, on pourrait croire qu’il y a eut ici un massacre sans précédents…Les prisonniers et les gardiens se seraient-ils entre tués ? L’hypothèse reste donc qu’une émeute a été déclenchée et que les gens enfermés ici ont perdu le contrôle de la situation…Sans doute qu’un des prisonniers a profité du chaos pour déclencher un incendie… ?
Dans deux jours dans la place de la ville un requiem en mémoire des nombreux morts sera fait. On vous invite à nous rejoindre pour rendre hommage aux âmes innocentes qui ont été emportées. »
Ce que visiblement les gens de la ville ne savaient pas, c’était que si, il y avait eut un survivant dont le nom de famille était « Ansatsu ». Cet homme là était considéré depuis toujours comme un dangereux prisonnier d’après les meurtres en série qu’il avait commis, d’ailleurs il avait été aussi accusé de cannibalisme. Et donc c’est lui-même qui avait déclenché l’incendie et prit la fuite pour tenter de faire sa vie loin de ce massacre qu’il avait lui-même causé de sang froid.
Après quelques temps, le premier Ansatsu de cette histoire dont on ne connait pas les origines, trouva chaussure à son pied et se maria avec une femme sublime. Ils eurent un enfant, Kaïel Ansatsu, qui avant de s’endormir écoutait en silence les histoires macabres racontées par son père. Histoires qui bien entendu parlaient de ses délits et surtout de la prison de haute sécurité « Kyooki ». L’enfant grandit donc avec un grain de folie que son père lui avait gentiment offert dés la naissance. Et dés qu’il eut finit ses études et amassé assez d’argent, surtout de l’argent de son héritage, il repartit en Allemagne pour faire construire l’hôpital psychiatrique Kyooki, autrement nommé Mad House Kyooki.
Des années plus tard, Hôpital psychiatrique Kyooki.« C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » Journal de Kuruu Ansatsu :« C’est un grand jour…Oui, le jour le plus beau de mon existence. Mon père Kaïel est mort, j’ai vécu toute ma vie entouré de malades dangereux et de tarés en tout genre en attendant cet instant. Toute une vie passée à étudier à la maison, des professeurs particuliers qui me tripotaient à tout va, d’ailleurs j’ai perdu ma virginité à six ans à cause de l’un d’eux…Mais j’avais réussit à obtenir mon diplôme, à devenir un médecin et psychiatrique. Ma mère elle, ne m’a jamais vue comme son fils, trop occupée à se défoncer avec de l’héroïne dans notre appartement comme pour prendre soin de moi, mais peu importe, qu’elle aille en enfer ! Je suis enfin libre !
Comme je m’y attendais de la part de mon cher père, il m’a laissé l’hôpital comme héritage, plus une somme d’argent avec la quelle j’aurais pas besoin de bouger le petit doigt pour vivre comme je l’entends…Cet hôpital est mien tout comme les patients qui sont coincés à l’intérieur… »
Quelques années plus tard, après avoir écrit cela, Kuruu Ansatsu se liait d’amour avec le gardien en chef de Kyooki…Mais les choses ne se passaient pas comme elles devaient se passer. Kuruu se fit tromper maintes et maintes fois par son amant, et bien vite il décida de le quitter et de l’offrir aux autorités pour se débarrasser de lui, puisque mine de rien il subissait aussi de la violence conjugale. Il décida donc d’épouser une femme quelconque pour tenter d’avoir un héritier, tout comme son père l’avait fait…Mais il était loin de se douter que son ancien amant reviendrait à l’assaut…
Année 2022 , Mad House Kyooki :« J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux ;
Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles» L’écrivain vous fait un résumé :« Bien des choses sont arrivées depuis le début de cette histoire…L’arbre généalogique des Ansatsu s’est bien alourdit, mais ça vous l’aurez remarqué par vous-mêmes. Traîtres, sanguinaires, fourbes…différents, on va utilisé ce mot pour décrire les membres de la famille Ansatsu. Ils sont nés et meurent quasiment seuls, sans avoir droit à un amour pur et solide, les mensonges font partie intégrante de leur rude vie et pourtant dans leur malheur ils sont heureux puisqu’ils règnent sur un territoire où tous sont plus faibles qu’eux.
Le maître des lieux n’est plus Kuruu d’ailleurs…Et pourquoi ? car après avoir eut un enfant avec une femme quelconque, son amant Saido, sortit de prison avec un seul mot à l’esprit : vengeance. Et il comptait faire cela dans les règles de l’art, en tuant son ex-amant et sa femme, il ne réussit cependant à se débarrasser que d’un seul corps, celui de la femme, alors que celui de Kuruu croupissait dans un recoin oublié de l’hôpital.
Cependant, il assuma une part de sa responsabilité en prenant en charge le fils de Kuruu, le nom de l’enfant était Mukuro, qui grandit comme son père, seulement lui il devait faire plaisir à son faux père en jouant le rôle de l’enfant violé dans des films gravés pour son faux paternel…Cependant pour lui, les attouchements commencèrent à environ deux ans. Et vous vous demanderez sûrement comment Saido, actuel chef des gardiens de l’hôpital, put prendre le contrôle de tout ? Et bien tout simplement il réussit à falsifier des papiers pour pouvoir faire passer Mukuro pour son propre fils…
Le temps s’écoula bien vite, et les autorités sanitaires retrouvèrent le corps de l’ancien patron. Mukuro était au courant de tout et pourtant il ne pipa mot, surtout parce qu’il était déjà allé rendre visite au corps sans vie de son paternel…Et qu’il aimait mine de rien vivre avec Saido même si ce dernier fou d’amour pour le mioche, le violentait à cause de ses souvenirs du passé…
Longue vie aux Ansatsu ! »
- « Dix morts…Dix morts…il m’en faut encore Cinq…Un, deux, trois, quatre… »
« Arrête de les compter abrutit…Le chef nous attend, on n’a pas de temps à perdre avec tes conneries…Même si c’est une habitude pour toi, laisse tomber les macchabés. »
Ils étaient dans un gymnase tout ce qu’il y a de plus normal, au lycée de la petite ville paumée d’Allemagne. Deux gars, l’un étant grand et blond, certes très élancé et l’autre étant plutôt…petit et chétif, presque maladif…Et pourtant ces deux là, tarés comme ils étaient, avaient tout simplement massacré dix jeunes femmes. Comment cela se faisait-il que personne n’avait remarqué ce genre de scènes dans l’enceinte du collège ? Et bien il était facile de comprendre que les jeunes femmes n’avaient pas été prises en otage ici même. Certaines ne portaient sur elles que des haillons souillés de sang entre autres substances difficiles à définir, elles avaient été kidnappées ailleurs qu’ici. Leurs états étaient divers et variés, certaines n’avaient que la peau sur les os alors que d’autres auraient encore put tenir quelques jours sans se nourrir. Et voici le détail le plus marquant de toute cette scène…Les corps avaient totalement été vidés de leur sang et les corps avaient été disposés d’une façon bien spécifique mais qui pour le moment n’avait aucune importance. Une fois leur mission accomplie, et l’œuvre d’art suprême non achevée, laissée derrière eux, ils quittèrent les lieux pour se diriger vers un squat de la ville…D’un pas lent et assuré, ils savaient parfaitement qu’au lycée il n’y avait ni gardes ni caméras vue que c’était un établissement publique et que le directeur de ce dernier n’avait pas suffisamment d’aides comme pour améliorer la sécurité.
Cependant ils prirent la peine de s’assurer de que personne ne les suivait…Discrets comme des ombres et calmes comme pas possible, enfin sauf le petit chétif brun qui était d’ailleurs nerveux par nature et qui se promenait dans les rues avec les yeux gros, se pinçant parfois les bras pour une raison inconnue, ils arrivèrent donc au lieu de rendez vous. Le blond se grillait une clope en même temps qu’avec son pied et surtout sa botte militaire, il cognait à la porte métallique qui les séparait de l’intérieur du bâtiment. Un petit cliquetis se fit entendre, la porte n’était pas ouverte, cela voulait juste dire « le code ou tu n’entres pas, mais tu ne partiras pas bien loin non plus »…Connaissant la procédure à suivre le blond ne mit pas longtemps à prononcer la phrase que le gros tas derrière la porte attendait :
« Vous êtes plus dur à trouver qu'une pute dans une église. »
Il finit alors par cracher sa fumée alors que la porte s’ouvrait…L’intérieur était en fait loin d’être un squat, enfin après un long couloir en mauvais état, la peinture semblait se casser la gueule d’ailleurs, à la fin de ce couloir donc se trouvait une salle commune, mais bien entendu il y avait d’autres pièces, comme des chambres et salles de torture. La salle commune quant à elle était décorée de façon assez sombre, des chandelles tenaient quelques bougies rouges, et les meubles étaient sur les mêmes tons…Au fond, un verre en main se tenait «Vergil »…THE Big Boss. Ce fût sans regarder les deux autres qu’il prononça une phrase :
« Vous avez fait vos preuves…Vous êtes à présent des jeunes vampires du culte de l'ombre…Félicitations.. »
Le culte de l'ombre ? Qu’est ce donc ? Pour résumer, ce sont des complets tarés qui se prennent pour des vampires…Lavages de cerveau, kidnappings, meurtres en tout genre et une possible crise de foie future…Voici mes amis les vampires de Mad House kyooki…Leur but ? Prendre le contrôle de la ville et faire régner l’anarchie…